Attendre au bout de mes insomnies la lueur
Un éclair, un miracle, un sourire, la douceur
Cest ta voix qui chante et méblouit quand vient lheure
De te croiser chaque après-midi rue Francoeur
Le temps sarrête, il se fige net
Et tu me donnes des idées,
De temmener où on se jette
Les ruisseaux dans les eaux salées
Jai mal, mal et tu ne sais pas
Ce qui me blesse, cest ça
De te revoir (Ce qui me blesse, ce qui me blesse)
Cest ça, cest ça
De te revoir (Ce qui me blesse, ce qui me blesse)
Cest ça, cest ça
De te revoir (Ce qui me blesse, ce qui me blesse)
Cest ça, cest ça
De te revoir (Ce qui me blesse, ce qui me blesse)
Cest ça
Jimagine ta vie qui sécrit là, quelque part
Entre ces tours quon voit scintiller dans le noir
Quand tu te maquilles les yeux en face du miroir
Pour un garçon auquel tu voudras plaire ce soir
Peut-être quau fond de tes rêves
Dans un silence inavoué
Tu attends quune voiture vienne
En bas de chez toi pour temmener
Au large, large, que tu la prendras
Le bruit de vêtements qui se froissent
Le tintement de collier
Ou quand un de tes amants passe
Sa main dans tes cheveux dénoués
Quil parle, parle, que tu ne lécoutes pas
De te revoir (Ce qui me blesse, ce qui me blesse)
Cest ça, cest ça
De te revoir (Ce qui me blesse, ce qui me blesse)
Cest ça, cest ça
De te revoir (Ce qui me blesse, ce qui me blesse)
C'est ça, cest ça
De te revoir (Ce qui me blesse, ce qui me blesse)
Cest ça
De te revoir (Ce qui me blesse, ce qui me blesse)
Cest ça, cest ça
De te revoir (Ce qui me blesse, ce qui me blesse)
Cest ça, cest ça
De te revoir (Ce qui me blesse, ce qui me blesse)
Cest ça, cest ça
De te revoir (Ce qui me blesse, ce qui me blesse)
Cest ça