Saint-Lunaire, Dimanche Matin
La fête sachève et les derniers se pressent
Cest comme dans un rêve et ya plus rien à boire, bonsoir
Dans le vestibule où nos regards se croisent
Vais-je enfin oser lamener sur la plage, bonjour
Cest lheure des folies permises, enfin
Lheure où je ne comprends plus rien
La fête sachève, plus une cigarette
Mais toi, tu as compris, tu me suis sans rien dire, bonjour
Cest lheure des délires permis, enfin
Lheure où je ne comprends plus rien
Tant dalcool, ma tête est lourde
Un peu dair frais me ferait du bien
La fête sachève et les derniers se pressent
Ya plus rien à boire, mais tes lèvres suffisent, bonjour !